Il ne reste que le porche de cette église romane, paroissiale jusqu’en 1803. Les quelques maisons qui l’accompagnaient représentaient le premier noyau de peuplement de la ville au XIème siécle. En partie détruite par un incendie pendant les Guerres de religion de la moitié du XVIIème, elle ne se relève pas des dégradations durant la Révolution.